Tsuyoshi Yasuda dans son sixième tome sur Blue Wolves semble rentrer dans l’action sérieuse ! Nio se lie d’amitié à une noble femme, dont le mari s’avère abriter quelques comploteurs bien connus contre la ville de Kyoto dont le clan des Miburo est chargé de la protection !

Blue Wolves (T06)
Saga : Blue Wolves
Scénario : Tsuyoshi Yasuda
Dessin : Tsuyoshi Yasuda
Genre : Shonen action et historique
Éditeur : Kana
Pages : 192 pages
Sortie : 5 janvier 2024
Synopsis : Nio fait la connaissance de Nagi, une jeune femme enceinte. Elle dit qu’elle est tête en l’air, mais Nio trouve qu’elle a de la force et du courage… De nouvelles rencontres, une intrigue qui s’accélère… L’affrontement entre les Miburo et les « Chi no risshi » commence…
Ramasser de l’argent : une quête difficile
Le clan des Miburo est désormais respecté par le shôgun. Ceux-ci ayant la charge de la protection des habitants de Kyoto, il leur faut un uniforme chacun. Comptez 250 ryos, une fortune ! Chacun est allé de ses compétences pour acquérir quelques pièces… résultats des courses : une catastrophe ! Non décidément il ne faut pas compter sur les Miburo, surtout les adultes, pour gagner et gérer de l’argent sans en le dépenser. Le manga Blue Wolves adore mettre en scène les péripéties des membres de ce clan hétéroclite !
Un complot contre Kyoto !
Le sixième tome de Blue Wolves accélère sur la pression et l’action. Nio rencontre une jeune femme enceinte et se lie d’amitié avec elle. Erreur ? Elle est mariée au gestionnaire d’un dojo, dojo utilisé par les membres des « Chi no risshi » (les jeunes loups sanglants) qui ne cherchent qu’à brûler Kyoto et à tuer le shôgun pour restaurer l’époque des samouraïs ! La revanche a l’air de sonner et cette fois-ci, une vraie baston entre clan va commencer.
Le manga est toujours sympathique à lire, ça y est on semble rentrer dans quelque chose de plus sérieux maintenant que le clan est reconnu. Finalement, on n’a pas eu du temps affaire à des divisions internes comme je me le questionnais précédemment – légère déception.









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