Ma dernière chronique sur Spy x Family remonte au tome 2, mais dernièrement j’ai lu le tome 5. J’ai avancé plus vite que la production de mes chroniques, bon tant pis… Parlons de ce tome 5 de cette pépite éditée chez Kurokawa.

Spy X Family
Saga : Spy X Family
Scénario : Tatsuya Endo
Dessin : Tatsuya Endo
Genre : Shonen d’espionnage
Éditeur : Kurokawa
Pages : 210 pages
Sortie : 19 août 2021
Synopsis : Sauvez le monde avec l’élite des agents (très) spéciaux : la famille Forger ! Une comédie d’espionnage pétillante ! Après avoir déjoué en deux temps trois mouvements un complot terroriste (rien que ça), la (fausse) famille Forger accueille un nouveau membre dont le nom est Bond, le chien Bond. Sous son abondante pilosité canine se cachent un amour infini pour Anya et, plus discret, un don de prescience. Alors que l’opération » Strix » semble enfin sur les rails, les examens qu’Anya doit passer dans le cadre de sa scolarité…
Spy x Family : une fausse famille à laquelle on s’attache
La famille Forger existe-t-elle ? Au fur et à mesure des tomes, on peut penser à l’évidence que oui. Le tome 5 de Spy x Family n’avance en rien l’intrigue principale – le rapprochement de la famille Desmond. Et pourtant, ce tome nous enchante quand même. On se sent de plus en plus attaché à la famille – ne serait-ce que par les scènes dans lesquelles Yur apprendre à cuisiner pour sa famille, y arrive enfin au grand étonnement de tous, et est si heureuse d’avoir réussi à faire apprécier son travail à cette famille qu’elle a tant peur de perdre. Il est fort probable que cet attachement à la famille Forger soit utilisé par la suite comme mécanique émotionnelle – du moins je l’espère !
Généralement, lire 200 pages sans que l’histoire principale n’avance aurait tendance à m’ennuyer. Pourtant, impossible avec Spy x Family. Tatsuya Endo maîtrise si bien l’art de l’écrit et l’humour que de nombreuses scènes me font lâcher des sourires voire des rires. Les vannes sont souvent bien amenées, millimétrées et pas seulement dans l’écriture (merci la traduction) mais aussi et surtout dans le dessin qui l’accompagne. Bref, je suis toujours aussi ravi de suivre cette histoire – en espérant que ça ne traîne pas trop sur la longueur en ce qui concerne les études d’Anya.







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